Chapitre 7: la Mine de Môgen Bühr

Putin ! C'est vraiq u'après réaction... C'est nos objets !
J'le course !!

Je fais le décompte de ce qui me manque.

Je demande ma dague a bardak.

"Quelle dague ? "
Mais voyant que le vampire n'a visiblement pas d'humour, je lui rends.

Vaél a écrit:

Je fais le décompte de ce qui me manque.

Rassurez, tu découvre qu'il ne te manque rien.


Pendant ce temps Gresnek course la dernière bête.

Course de Gresnek: échec critique!

Gresnek s'élance à tout allure, mais trébuche contre une pierre et s'écroule au sol lourdement... pendant que le rire hystérique de la bête s'atténue au loin avant de disparaître.

haha!

Je fini mon tour de garde puis je vais me coucher

"Il faudra être plus prudent la prochain fois, ces petits diable peuvent revenir."

Oue faudra ouvrir l'oeil la prochaine fois...

Ode retourne se coucher en serrant fort ses équipements.

Putin la honte... Que j'les recroise pas ces salopards !

Tiens au fait, c'est mon grappin qui me manque ? j'aimerai bien le récupérer...

Pendant que Gresnek récupère son grappin, vous retournez vous couchez. Vous vous réveillez le lendemain matin, en ayant un peu récupérer de la veille, prêt à repartir.

Bah allons y !

"Si tout le monde est prêt n'attendons plus !"

Ode propose de grignotter sur la route afin de gagner du temps.

Ainsi vous reprenez la route de bon matin, la légère pluie et le brouillard vous accompagnant toujours. Vous dépassez rapidement le Camp Humain, et du haut d'une colline, vous pouvez apercevoir toute son activité. La fumée de plusieurs feux de camp s'échappent de la base. Quelques troupes sont en manœuvre, des dizaines et des dizaines de milliers d'Hommes occupent la place, voir même des centaines de milliers!

La pluie ne vous quittent plus de la journée, ainsi que sa fraicheur, mais le brouillard se dissipe vers midi. Une fois votre repas enfilé, vous continuez votre marche tranquillement. Mais c'est en milieu d'après-midi, alors que vous venez de dépasser la moitié de la vallée de la Selyr, que vous voyez au bord du chemin à quelques kilomètres, une épaisse fumée noire s'élever.

"Voila encore un ork qui a voulut faire la cuissine !!"

Vaél a écrit:

"Voila encore un ork qui a voulut faire la cuissine !!"

Ne sachant trop ce que ça veut dire, ni pourquoi il dit, Bardak lâche un :
"Laule !"

je prend de la hauteur afin d'observer si c'est possible (arbre, bute), sinon j'avance jusqu'à voir ce qu'il se passe tout en longeant des arbres

Je ne relève même pas et j'entamme :
"Je pense que l'on y arrive..."

der_righter a écrit:

je prend de la hauteur afin d'observer si c'est possible (arbre, bute), sinon j'avance jusqu'à voir ce qu'il se passe tout en longeant des arbres

Observation de Drake: 13!

Tu ne vois pas grand chose à cause de la distance, mais tu devine qu'il s'agit apparemment des restes d'un campement non loin de la route.

"Si cela est être objectif ne perdons pas de temps." Et sur ces mots j'accélère le pas.

Vaél a écrit:

"Si cela est être objectif ne perdons pas de temps." Et sur ces mots j'accélère le pas.

Vous arrivez près de l'origine de la fumée. Vous découvrez ce qui semble être les restes d'un campement. Celui-ci est dévasté, complétement brûlé, et des dizaines de cadavres Orks jonchent le sol. Vous devinez qu'un terrible combat a eu lieu ici, quand vous entendez quelqu'un tousser douloureusement. En vous retournant, vous apercevez un Ork encore vivant.

Je sors ma dague et m'approche de lui.

"Quel est ton nom orc?
Que s'est-il passé ici?
Souhaite tu que je te tue, t'offrant ainsi une mort digne?"

der_righter a écrit:

Je sors ma dague et m'approche de lui.

"Quel est ton nom orc?
Que s'est-il passé ici?
Souhaite tu que je te tue, t'offrant ainsi une mort digne?"

L'Ork tousse à nouveau, et crache même du sang:

"J'm'appelle York! York le Bleu, ou York le Nouveau pour certains. [tousse et crache] Nous... nous..."

L'Ork en balayant du regard tout votre groupe s'arrête sur Gresnek:

"... Gresnek... [tousse et crache] ... Gresnek c'est bien toi?!"

"Gresnek, GGGRESSSNNNNEK, y ta soeur qui veut te parler avant de crever."